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48 heures après le concours, les lauréats ont été officialisés lors d’une conférence de presse. Le concours Miss university en sa 6ème édition, accompagné de celui du Master university qui est en sa 5ème édition, cette année se sont tenu dimanche 14 juin dernier au palais du peuple et les lauréats ont été officialisé Mardi 16 juin. Djalika Sall a été celle qui, désormais porte la couronne de la plus belle intello de Guinée.
La Miss qui portera la couronne pendant un an si elle ne viole pas les lois de Saint Koffi, se félicite et remercie son université ainsi que tous ceux qui l’ont soutenu de près ou de loin. Elle appel tous ses fans de l’aider à gérer sa couronne et réaliser ses projets qu’elle n’a pour autant pas énuméré.
Djalika, fait la licence 3 à l’UNC, elle a 21 ans et mesure 1.74m sur 63 kg. Elle aurait reçu un prix de trois millions et aura une prime de 250.000fg chaque fin de mois, durant tout son mandat. Le prix de la première dauphine Safiatou Baldé, serait de deux millions de francs guinéens, elle a 20 ans et mesure 1.70m sur 50 kg, elle est étudiante en sciences politiques à Koffi Annan en licence 2. Puis la deuxième dauphine, Ndiaye Elisa 20ans, 1.74m sur 52 kg est aussi étudiante en licence 3 à l’université Mercure International, département gestion d’entreprise, son prix serait de un million.
N’Fally Fofana alias Saint Koffi est l’initiateur de cet évènement de concours des plus beaux intello de la Guinée. Il était plus ou moins énervé ce Mardi, à cause d’un incident qui serait à l’origine de l’évanouissement du deuxième dauphin qui dit être asthmatique. Selon, Saint Koffi, « il y a eu un incident qui a causé des dégâts dimanche dernier lors de la présentation du trio de Master. Des objets on été lancés vers le podium et des appareils ont été endommagés. Je suis vraiment déçu de ce comportement des universitaires ce jour, » regrette-t-il, avant d’ajouter « je ne peux juger personne parce que je n’étais pas sur la scène, je supervisais de l’autre coté. Mais nous prendrons désormais des mesures pour ne pas qu’il y est une telle pagaille. »
Aminata Pilimini Diallo